L’édition 2025 de Fourrages Expert revient sur l’année fourragère 2024 et ses conséquences sur la nutrition des ruminants.
Année pluvieuse et peu ensoleillée, 2024 a favorisé les volumes fourragers mais pas toujours la qualité. Herbe, luzerne, maïs : dans ce numéro spécial Fourrages Expert, nous vous proposons un Tour de France des productions par grandes régions, autour de bilans chiffrés, d’avis d’experts et de reportages.
Au Gaec Garnier, en Mayenne, le maïs est le pilier du système. Sur les 120 ha de SAU, 60 ha sont consacrés à la production d’ensilage. Pour le maïs fourrage, les associés sèment un mélange de variétés hautement digestibles et à forte teneur en amidon.
Dans le Morbihan, Sylvain Lescop accorde une importance capitale à la santé du sol et vise l’excellence fourragère. Utilisateur du Bactériolit (Sobac), l’éleveur laitier en mesure les effets sur la qualité et le volume de la production fourragère.
En Indre-et-Loire, Emmanuel Mété gère une exploitation laitière performante, où la qualité du lait repose en grande partie sur une gestion rigoureuse des fourrages.
Dans le Maine-et-Loire, le Gaec Bannier mise sur la génétique Leafy Floury pour la culture du maïs. Ces hybrides impressionnent par leur taille et l’implantation de l’épi plutôt bas.
Lallemand Animal Nutrition rappelle l’importance de préserver la qualité fourragère récoltée au champs grâce aux inoculants.
Selon Semental, l’année 2024 confirme le potentiel de ces hybrides Leafy Floury. Les sorghos ont enregistré une année record en terme de semis. La conservation selon Schaumann : les atouts de l’effet cocktail
Travailler en synergie plusieurs souches de bactéries homo et/ou hétérofermentaires, ne pas suracidifier les silos d’herbe et produire du mono-propylène glycol : tels sont les atouts des inoculants développés par Schaumann.
Kuhn propose en élevages caprins et bovins son système d’alimentation automatisée pour le désilage.
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